BIC promeut Guillaume Coquet à la tête de son immobilier tertiaire
Par Alexandre Foatelli | Le | Immobilier
Auparavant aux manettes de l’environnement de travail, Guillaume Coquet est devenu Group Real Estate Senior Manager de BIC. Il a dorénavant la charge de tout l’immobilier tertiaire du groupe à l’échelle mondiale.
Guillaume Coquet a pris du galon ! Intervenant déjà sur le tout le volet workplace du groupe BIC, le voici, depuis le début de l’année, Group Real Estate Senior Manager. À ce titre, il aura la charge de tous les espaces de bureaux du groupe, qui représentent 35 baux à travers le monde. « En plus des prérogatives que j’avais dans mon poste précédent de Global Workplace Senior Manager, je vais aussi m’occuper de la gestion des prises à bail et la conduite de la stratégie immobilière tertiaire du groupe », décrit Guillaume Coquet. Il sera rattaché à Mallory Martino, Chief Human Resources Officer, basé à Shelton aux Etats-Unis.
Cette nomination vient ponctuer un parcours linéaire au sein du leader en papeterie, briquets et rasoirs. Diplômé d’un Master à l’Université de Rennes 2, Guillaume Coquet intègre BIC dès 2005, en tant que responsable environnement de travail. Poste qu’il occupe durant 11 ans, avant d’ajouter les Moyens Généraux à son bagage en 2016. En 2019, il est promu Global Workplace Senior Manager, jusqu’à sa dernière nomination. « C’est une des qualités de l’entreprise, qui aime favoriser le développement professionnel des individus, souligne Guillaume Coquet. Mon parcours au sein de BIC m’a doté d’une bonne connaissance du bâtiment, des services généraux et de la culture de l’entreprise, ce qui est un plus pour gérer son immobilier », poursuit-il.
L’attractivité et la rétention des talents comme boussole
Désormais, Guillaume Coquet compte bien s’appuyer sur cette expérience acquise. « Nous internalisons beaucoup de choses, à l’instar de la maitrise d’ouvrage que j’ai pu mener avec le soutien des équipes pluridisciplinaires sur le siège social du groupe à Clichy. Cette approche nous permet de réaliser des économies lorsqu’il est nécessaire de réaménager un site », met en avant l’intéressé.
Outre la culture propre à chaque pays où BIC est présent, le leitmotiv de l’entreprise est d’abord d’attirer et conserver les talents. « Il n’est pas question pour moi d’uniquement optimiser les mètres carrés, affirme Guillaume Coquet. Sur chaque site, il est nécessaire de se poser les bonnes questions et d’analyser les espaces en TCO [le coût total de possession, soit le coût de l’ensemble du cycle de vie, NDLR] car le loyer les charges et les investissements ne sont pas les seuls postes de dépense à prendre en compte, afin de ne pas prendre des décisions hâtives au risque de perdre de l’argent. »